ZABE QUINEZ

 

Tel LE BATELEUR, j’ai débuté mon parcours initiatique. La rédaction de mon premier roman s’avéra une vraie surprise d’enthousiasme qui se poursuit au fil des lames. Je profite de cette page pour la partager avec vous.
L’écriture n’est pas ma formation. Toutefois, comme beaucoup de gros lecteurs, j’y avais parfois pensé sans oser y croire.

Un jour de vacances pleines de lectures, ça m’est tombé dessus. Un besoin irrépressible m’obligea à m’assoir devant une feuille et à commencer à écrire (Je vous rassure, j’ai rapidement appris à utiliser un ordinateur pour cela !)

Ma surprise fut grande de découvrir l’intensité des sensations que l’on ressent à écrire. C’est aussi bien que de lire une de ces merveilles dont on ne peut décrocher même si la nuit avance et qu’il faut se lever pour aller travailler au matin, et dont l’on rêve ensuite pendant le peu d’heures de sommeil qui restent. J’ai vécu cela en écrivant « La voie du bateleur » et j’espère que vous y trouverez ces sensations. Il a été exaltant de sentir ce récit naitre comme cela, quasiment tout seul, d’avoir parfois ce besoin urgent d’écrire pour connaitre la suite. Je ne m’attendais absolument pas à une expérience de ce type.
Cet ouvrage, né de rien, n’a pas de mort et peu de violence. Peut-être parce que j’ai lu beaucoup de cadavres et que cela semble trop loin de notre « vraie vie », qui est souvent triste et grise mais peu dangereuse physiquement. Les risques y sont plus subtils, même si certains événements récents peuvent laisser penser le contraire. Plus surement parce que je sais que, dans la « vraie vie » de certains, les vraies balles font de vrais dégâts. Elles fracassent les os, explosent les articulations, arrachent de gros morceaux de chair. Elles laissent de définitives et monstrueuses séquelles.

Et aussi car je regrette de terminer bien des livres avec une sensation de mal-être et d’écœurement de toutes ces morts sinistres qui méprisent tant l’humain. J’ai dû vouloir apporter une possible réalité de joie et de gaité positive, pour qu’en refermant LE BATELEUR et les autres romans de LA VOIE DES LAMES, le lecteur se sente bien, satisfait comme après un bon repas et regarde l’avenir avec optimisme. Je souhaite l’avoir fait de manière à ce que vous y retrouviez cet espoir.

Si mes états d’âme sur le thème vous intéresse vous pouvez retrouver d’autres profondes considérations philosophiques dans cet article Un jour, j’ai arrêté les cadavres

Pour mon plus grand bonheur et à ma grande fierté (à cause des compliments qui accompagnent l’article), d’autres que moi ont le même ressenti.

Pourquoi je ne lirai plus de polar mais j’ai suivi la voie du Bateleur – Gaelle Kermen

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Les commentaires des lecteurs de cette aventure me laissent penser que j’ai réussi mon pari. J’espère que vous partagerez leur avis.

Commentaires client les plus utiles
 
 
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Bien sûr, il y a l’intrigue, l’action, les temps forts d’une
énigme et des secrets révélés au compte-goutte. Tout
cela est savamment mis en place, maîtrisé, abouti.Mais au delà de l’histoire, c’est l’empathie pour les
personnages qui fait de ce livre une belle et vraie rencontre.
Ce processus « d’identification » est tel que l’on se projette
avec ferveur dans la vie des uns et des autres.Et comment ne pas saluer le rôle singulier et fascinant
des cartes. Leur présence récurrente est, à elle seule, l’un
des pivots de ce roman subtil et savoureux.Enfin,l’on ne saurait oublier la finesse avec laquelle
Zabe Quinez peint la Provence. Car en effet, ce qui fait
la force et la couleur d’un roman, c’est aussi l’identité
d’un lieu. Sa personnalité. Son âme.Nul doute que Jean Giono aurait salué ces pages
souvent solaires et traversées par le respect d’une région
toute en contrastes et fulgurances. Chapeau !

Très agréable lecture qui se déroule sans que l’on s’y ennuie. J’ai aimé les sons, les senteurs, les tableaux…

Merci pour ce roman que j’ai fermé le sourire aux lèvres.

J’ai aimé de bout en bout ce suspens rafraichissant

Une plume agréable, fluide et très imagée. Le mélange des sujets est original, intéressant et accrocheur.


388 pages, ça peut paraître décourageant… et pourtant, cela se lit comme on boit une bonne tasse de café un samedi matin, un journal à la main, en prenant son temps, en regardant les passants dans la rue un matin de fin d’été et en reprenant le fil de l’actualité. Très bien menée et écrite.

A lire sans modération !

C’est frais, c’est gai, et même si on n’y connaît rien au tarot, on se prend à vous suivre dans ce parallèle entre la signification des symboles des cartes et votre récit