EXTRAIT DU ROMAN ET ICONOGRAPHIE
L’aigle, l’image parfaite de la souveraineté, l’emblème, l’animal totem de L’IMPERATRICE. Celui qui lui apprendra à élever sa perspective, à prendre du recul. L’aigle des légions romaines, des empires, des rois couronnés. L’aigle de Rome, de l’Allemagne Impériale, de la France Napoléonienne, de la Sainte Russie, de la naissante Union des États Américains, réapparaissant pour une nouvelle Allemagne. L’aigle des peuples guerriers, dominants et envahisseurs.
L’IMPERATRICE enserre de son bras droit l’écu portant le blason en devenir de sa famille, de sa dynastie. L’oiseau à l’aile inachevée regardant vers la gauche, quand celui de L’EMPEREUR regarde vers la droite. Les deux animaux se font face.
Assemblés, ils formeront le symbole bicéphale, connu depuis 2000 ans avant notre ère, présent dans toute l’héraldique, jusqu’à nos jours où il est l’emblème, entre autres, de hauts grades maçonniques.
L’aigle qui accompagne saint Jean, l’évangéliste des mystères célestes, l’explorateur de la trinité. Qui ose regarder le Christ en face comme l’aigle regarde le soleil. Le courage, la foi de l’impossible. L’animal représenté avec lui, si souvent stylisé sur les frontons des cathédrales et des autels, est l’un des quatre vivants de l’Apocalypse.
L’aigle, le messager des Dieux…
Le message et la voix magique d’une autre Impératrice.
Pour mieux la comprendre, retrouvez les aventures de notre impériale Impératrice