RISOTTO DE PRINTEMPS

Avec le printemps ensoleillé vient le lilas… et les asperges.

Ingrédients : peu de choses mais bonnes

– Quelques asperges

  – 2 échalotes

  – Du riz

 

 

 

Préparation : TRÈS FACILE

1 – Éplucher les asperges et les découper en tronçons. Les faire cuire 10′ dans de l’eau bouillante salée (deux fois le volume de riz + 1/2 verre pour l’évaporation). Lorsqu’elles sont cuites égoutter les pointes et les mettre de coté.

2 – Faire revenir doucement les échalotes émincées dans un peu d’huile chaude. Lorsqu’elles sont devenues transparentes y ajouter le riz quelques instants puis les tronçons d’asperges ; mélanger. Ajouter leur liquide de cuisson petit à petit, en veillant que tout soit absorbé avant d’en ajouter.

En fin de cuisson ajouter les pointes des asperges, laisser cuire encore 3-4′ puis couvrir et laisser reposer.

 

Résultat : UNE MERVEILLE D’ÉLÉGANCE

Servir joliment dressé, seul ou en accompagnement.

Cette si simple recette se réalise de la même manière avec des pois gourmands ou des petits pois frais pour un résultat au chic tout aussi gastronomique.

Retrouvez-la dans le roman

EXTRAIT DU ROMAN

La veille, au marché, il s’était acheté une poignée d’asperges. Il avait en tête la recette décrite par Samia. Elle lui paraissait tout à fait dans ses cordes. Si limitées qu’elles soient.

Il pela les asperges. Si fraîches sorties du champ qu’il n’en retira rien à part un peu de poussière. Les rinça et les découpa en tronçon d’un centimètre. Il les mit quelques minutes dans de l’eau bouillante salée. Les ramassa à l’égouttoir, gardant l’eau de cuisson. Il tria les pointes et les entreposa de côté. Tous ces préparatifs effectués, il fit revenir doucement une échalote ciselée dans sa sauteuse. Y versa le riz, un grand verre pour deux repas, et augmenta légèrement l’intensité du feu. Comme l’avait précisé Samia, il commença par n’ajouter qu’un fond de louche du bouillon d’asperge. Il rebaissa le gaz et attendit que le riz ait absorbé tout le liquide avant d’y adjoindre lentement une nouvelle demi-louche, puis une louche. Il termina en versant le reste du bouillon… Ce qui n’était plus grand-chose… Il avait suivi les consignes, deux verres d’eau pour un verre de riz. Il y mélangea les morceaux de tiges d’asperges, couvrit. Dans quinze minutes, il ajouterait les pointes plus tendres et ne les laisserait cuire que cinq minutes supplémentaires.